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Paris 2024 : les<br />
JO vus de la Bretagne

Paris 2024 : les
JO vus de la Bretagne

Gaspard Brémond de Ouest France, Frédéric Happe de l'AFP et François Rauzy de France Bleu Armorique sont tous les trois journalistes sportifs. Ils racontent comment ils couvrent les Jeux Olympiques de Paris 2024 d'un point de vue breton.

Que couvrez-vous pour ces Jeux Olympiques ?

Gaspard Brémond (GB) : Le judo pendant toute la première semaine – la Fédération française vise dix médailles. Puis je vais couvrir les sports moins médiatisés comme l'escalade, le breakdance, le golf et le taekwondo. Nous serons 15 pour tout couvrir : 12 à Paris, une personne à Marseille pour la voile, une à Lille pour le basket et le handball et une à Nantes pour le football. Il y aura aussi 5 envoyés spéciaux pour les Jeux Paralympiques.

Frédéric Happe (FH) : Je serai à Châteauroux pour les épreuves de tir et à Nantes pour le football. J'échappe au calvaire parisien !

François Rauzy (FR) : Nous ne serons pas sur place. Nos collègues de Radio France à Paris nous enverront les sons, les réactions pour qu'on les traite en radio si des breton·nes s'illustrent. On va plutôt s'occuper des articles pour le web, et des Terres de Jeux en Bretagne, comme la délégation paralympique d'Australie à Hennebont pour le ping-pong et l'équipe de football argentine à Fougères.

Quelle est la spécificité de couvrir un événement centralisé à Paris, hors passage de la flamme olympique en Bretagne, pour un média basé en Bretagne ?

GB : Nous avons un œil attentif sur la performance des athlètes originaires de Bretagne, comme en canoë-kayak, en voile, ou en judo avec Clarisse Agbegnenou. Nous raconterons aussi tout ce qui se passera autour des jeux : les problématiques de transport, de sécurité, d'environnement, de tourisme.

FH : Il faut se donner au maximum, c'est un gros défi pour les journalistes de tout le pays.

FR : Nous avons hâte de voir ce qui va se passer, toujours en gardant un angle breton : nous allons pas mal suivre le canoë-kayak car il y a beaucoup de bretons, ou Audrey Cordon-Garot pour le cyclisme.

Ça fait quoi de couvrir un événement si unique en tant que journaliste sportif ?

GB : C'est extraordinaire. Il faut qu'on puisse mesurer la chance incroyable qu'on a en tant que journaliste sportif en France. On m'avait proposé d'aller aux JO de Tokyo en 2020 mais ça ne s'est pas fait à cause du Covid-19. Il va avoir des moments d'émulation assez chouettes avec les journalistes sportifs d'autres rédactions et d'autres pays. Et c'est le goût de raconter le sport qui m'a donné envie de devenir journaliste.

FH : C'est toujours un peu le rêve d'enfant qui se réalise. Ce sont mes premiers JO en 24 ans de carrière à l'AFP, n'ayant pas pu aller à ceux de Tokyo. Et je vais apprendre des nouvelles disciplines, leur histoire, leur règlement. C'est pour ça qu'on fait ce métier en fait : découvrir de nouvelles choses.

FR : Je vais suivre ça à distance et faire un travail de veille. À la base je suis un grand passionné du Stade Rennais, mais le passage de la flamme olympique m'a mis un peu plus dans l'ambiance.

Crédit photo : Crédit photo : Paris 2024 / Sebastien Salom Gomis / SIPA PRESS

Lucie Inland et Carole André

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