La garde à vue de Gaspard Glanz enflamme les réseaux sociaux
Gaspard Glanz, fondateur de l’agence de presse Taranis News, a été interpellé par les forces de l’ordre et placé en garde à vue une trentaine d’heures fin octobre alors qu’il effectuait un reportage sur le démantèlement de la « jungle » de Calais. Il fait l’objet de deux procédures judiciaires et il est sous le coup d’un arrêté d’interdiction de séjour dans l’arrondissement de Calais, avec obligation de se présenter chaque samedi au commissariat de Strasbourg. Selon Gaspard Glanz, cette mesure vise clairement à l’empêcher de poursuivre son activité professionnelle.
Spécialisé dans la couverture des mouvements sociaux (manifestations contre la loi travail, ZAD de Notre Dame des landes…), ce vidéaste de 29 ans revendique la pratique d’un journalisme engagé, et ne cache pas ses sympathies pour les mouvements contestataires. Ses reportages, tournés au cœur des manifestations et qui visent notamment à dénoncer les violences policières, lui assurent une réelle notoriété dans les milieux militants. L’annonce des mesures prises à son encontre a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux.
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